26 décembre 2007

Julien Gracq

"Ce qui me plaît chez Breton, ce qui me plaît dans un autre ordre chez René Char, c'est ce ton resté majeur d'une poésie qui se dispense d'abord de toute excuse, qui n'a pas à se justifier d'être, étant précisément et d'abord ce par quoi toutes choses sont justifiées." (Préférences)

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